Porter le nom Belmondo, en France, ce n’est pas rien. Et pourtant, Victor Belmondo a réussi à se faire un prénom, avec une élégance discrète et un vrai talent. Petit-fils de Jean-Paul Belmondo, il aurait pu se contenter d’un raccourci facile. Mais non : Victor a préféré tracer sa route, à son rythme, avec sincérité.

Depuis ses débuts au cinéma, il s’impose comme un jeune acteur à l’aise dans des rôles sensibles, parfois taiseux, souvent profonds. Il a cette manière calme d’occuper l’écran, sans jamais chercher à trop en faire. Une sorte de douceur contenue, qui lui donne un charme bien à lui.

On l’a vu notamment dans Envole-moi d’Alexandre de La Patellière, où il partageait l’affiche avec Gérard Lanvin. Un film populaire et touchant, où il incarnait un jeune homme un peu paumé, obligé de grandir d’un coup. Et Victor y était parfait, dans la retenue, juste et émouvant.

Ce qui frappe chez lui, c’est cette modernité tranquille. Il n’essaie pas de rejouer son grand-père, ni de s’en détacher à tout prix. Il avance, tout simplement. Il apprend, il explore, il progresse. Et il le fait avec une classe naturelle.

À seulement un peu plus de 30 ans, Victor Belmondo fait partie de cette génération d’acteurs qu’on a envie de suivre, parce qu’ils racontent quelque chose de vrai. De simple. De touchant.

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